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Sunday February 02, 2003 16:50 by iosaf - 5th international of very wise and experienced global movers and shakers. stickybricky at hotmail dot com barcelona. 0034679708674/00447979324324
Today Sunday like Christmas Day is when Europeans and Americans read the papers and watch TV.
They relax and feed. I´ve not fed the ducks this morning as readers will know I usually do, but today is a bit different.
What has marked out challenges for organisational structures in the 21st century is meeting the demands of constantly changing market needs and supply reliability.
I heard that at one of those "conferences of leaders" things some man in his sixties talking about my century.
The Shuttle means not only the loss of seven lives, but also a strong emotional blow for two states whose culture has been so deftly spun in recent years by their increasing involvment in space exploration. NASA has been beseiged by problems much more serious than ESA and has lost more payloads and lives than any of the space launch state organisations.
In the last weeks Israelis hav once again been bombarded with images of their astronaut. Whilst Ariel Sharon fought his election with the a new party symbol. The Election slogan was "Israel = birthright". The symbol of the party had become a graphic splashed star of David with what appeared to be an eye in the centre.
Beyond the prayers that are offered now in many tongues and faiths there can be no mistaking the sign of fear and hesitance that registered most noticably yesterday in Washington.
Bush was scared.
did you see it?
> The Sunday Independent in Ireland shows
> a lot. It always does.
> the words without names from the pdfile.
> racism on the campus: a middle class mask slips the den of the dictator how ****** ***** got his revenge, **** ****:20 years later I nearly gave it all up.
> Blood on the floor: my night of fear in a dublin club
> "pity ******* ******* head wasn´t between the tachet and the plane"
> Peacenik speaks out.
> That´s the first inches of the unison.ie rag today. built to last eh?
So the Taoiseach has been warned about driving too fast next to an advert of white van man. volkswagon brings us to
http://www.welt.de/data/2003/02/02/38401.html
Chronik des Absturzes: „Die Columbia ist verloren“
Wie die Raumfahrt-Katastrophe abgelaufen ist.
Welt with the data eh?
Now what´s going on with the afghanistani situation?
oh yes. well oh no. if you don´t read french skip. to $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ signs. ok?
• LE MONDE | 29.01.03 | 13h18
Le plus grand ennemi, par Marc Weitzmann
>>>> voir séquence
Hécate dans Macbeth :
"La sécurité est le plus grand ennemi des hommes." De George W. Bush à Nicolas Sarkozy en passant par Ariel Sharon, chacun aujourd'hui invoque à grands cris cet ennemi, qui n'a jamais existé – pas plus que la paix. Tout l'infantilisme du langage pacifiste – "Oui à la paix, non à la guerre, non à l'impérialisme, oui à la justice", comme disent les slogans – repose sur ce même cliché rassurant, qui légitime aussi dans l'opinion la politique sécuritaire : celui d'un monde prospère à peu près pacifié, créé par l'Occident au sortir de la seconde guerre mondiale, et dans lequel nous aurions jusqu'à présent vécu de manière paisible.
En fait cet "ordre international" avait pour cadre l'invraisemblable violence de la guerre froide. L'"équilibre de la terreur", comme on disait alors : une absence de conflit direct avec les Soviétiques, compensée, sur l'échiquier du tiers-monde, par le meurtre, le coup d'Etat et l'entretien pervers de conflits locaux. Les Soviétiques manipulaient Syriens, Angolais, Cubains, réseaux terroristes palestiniens. Et en face, les Américains agissaient de la même manière – au Sud-Vietnam, au Chili, au Brésil, en Afrique, bref, partout où ils le pouvaient, et bien sûr au Moyen-Orient.
C'est dans ce cadre qu'ils ont militairement soutenu Saddam Hussein au début des années 1980. Ils ont de la même manière financé et entraîné les hommes de Ben Laden en Afghanistan, durant la guerre contre la défunte URSS, et Jacques Chirac, de son côté, lorsqu'il était premier ministre sous Giscard, a fourni clé en main, à la fin des années 1970, une centrale nucléaire à Saddam Hussein (que les Israéliens ont eu la bonne idée de faire sauter avant sa mise en service).
Une fois cela admis, cependant, en quoi devrait-on conclure au refus de la guerre actuelle ? Certes, il y a bien un lien entre l'armement d'Al-Qaida ou de l'Irak par les Américains et ce qui se passe d'aujourd'hui, mais pas forcément celui qu'y voient les pacifistes. La vérité, c'est que nous sommes simplement passés d'un demi-siècle de suicide européen à la guerre froide et à ses conséquences dans le tiers-monde.
Dans son impressionnant roman sur la CIA, Le Fantôme de Harlot, l'écrivain américain Norman Mailer en décrit parfaitement les suites actuelles, dans ce dialogue entre un agent de renseignement américain, et un militant communiste du tiers-monde "retourné" au profit des Etats-Unis. La scène se passe en Uruguay dans les années 1950, mais cela pourrait être l'Afghanistan à la fin des années 1970. " Nous sommes au siècle américain, dit l'agent de la CIA, parce que nous y sommes obligés. Nous sommes les seuls à relever le gant de la guerre chrétienne contre le matérialisme.
– Non, répond le révolutionnaire qui a trahi son camp, le communisme pour vous n'est qu'une excuse. Politiquement parlant, je suis de votre côté parce que vous et les vôtres sont à mon avantage. Mais quand nous serons tous deux évanouis dans l'ombre longue de l'histoire, votre camp perdra.
– Je n'arrive pas à concevoir pourquoi.
– Parce que vous ne nous comprendrez jamais.
– Mais vous vous dites dans mon camp. Si c'est le cas, qui diable est ce "nous" ?
– Nous, ce sont les peuples sombres. Latins, musulmans, africains, orientaux. Voilà qui est nous. Vous ne nous comprendrez jamais. Vous ne comprenez pas notre besoin d'honneur."
Ce que Mailer montre ici, c'est l'humiliation de l'allié obligé – avec, chez Mailer, cette connotation homosexuelle qu'implique le terme même d'agent "retourné" et de pénétration clandestine. L'opinion arabe, d'ailleurs, ne parle pas autrement aujourd'hui, quand elle évoque les Palestiniens ou Saddam Hussein : "On s'est fait avoir".Ce qui semble en jeu, dans cette affaire d'honneur, ce n'est pas tant le cynisme supposé de l'empire, que l'ambivalence passionnelle du vassal, incapable d'accepter les bénéfices d'un progrès matériel, sans tuer celui qui s'apprête à les lui fournir.
De ce point de vue, l'argument pacifiste d'une machiavélique rapacité impérialiste de la part des Etats-Unis vis-à-vis du pétrole est sans doute le moins convaincant. Il faut rappeler que, selon le plan américain, tel du moins qu'il est exposé par son auteur principal Paul Wolfowitz, la prise de contrôle des puits irakiens obéit à un double but politique. D'une part, réduire considérablement le poids de l'Arabie saoudite, tenue pour responsable du financement et de l'endoctrinement des réseaux terroristes. De l'autre, créer en Irak même une dynamique économique libérale favorisant l'émergence d'une classe moyenne et, donc, de la consommation. La même idée, exactement, gouvernait déjà le processus d'Oslo dans sa vision de la Palestine – des dollars, une classe moyenne neuve, et une dépendance économique à l'égard de l'Occident. Cette version locale de la mondialisation était soutenue à l'époque par toutes les gauches du monde, au seul motif qu'il s'agissait d'un plan de "paix!".
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>j´adore ce mot "paix!"
S'il fallait critiquer cette vision des choses, peut-être faudrait-il mettre en cause non son machiavélisme, mais sa naïveté, au contraire. Tout comme il était trop simple d'imaginer les Palestiniens acceptant sans état d'âme une telle inféodation, il est sans doute ingénu de penser qu'un gouvernement irakien "démocratique", surtout s'il est à la solde de l'Occident, pourra se passer d'une rhétorique belliqueuse.
On est, quoi qu'il en soit, assez loin de la dénonciation facile de "l'impérialisme" avide, même si George W. Bush, en bon fils de la morale protestante, pense sans doute que servir la communauté internationale, comme il estime le faire, entraîne à titre privé une juste récompense financière. Mais après tout, les Français sont-ils plus justifiés à s'accrocher, pour leur part, à une morale catholique selon laquelle tout gain, voire la nature même de l'argent, seraient source de corruption et d'horreur ? Il est très digne et très noble, face à l'impérialisme supposé, d'en appeler à "la responsabilité" et aux "grands principes" comme le dit Dominique de Villepin le jour où il laisse la Libye prendre le contrôle de la commission des droits de l'homme à l'ONU. Encore faut-il ne pas avoir auparavant tout misé sur un seul thème. Car que resterait-il, en cas de campagne d'attentats sérieuse sur le sol français, d'un gouvernement dont tout le crédit repose sur la rhétorique sécuritai!
re?
>>>>>>>>>>>>>>zut! qu-est-ceque passé avec le mot "re?"
A tout promettre sur ce sujet, l'équipe au pouvoir ne s'est-elle pas potentiellement ouverte à toutes les pressions, à tous les chantages, et finalement à l'impuissance ?
"La sécurité est le plus grand ennemi des hommes." Et s'il est vrai que nous sommes passés de l'équilibre de la terreur à l'ère de la terreur déséquilibrée, alors nul ne va nous plonger dans le chaos, pas plus les Américains aujourd'hui en Irak que quiconque ailleurs demain, parce que, tout simplement, nous y sommes déjà. Nous ne pouvons que l'affronter.
>>>>>>>>>>>>>>>>>déjà.déjà.Joyce loved that one too. do you think you can use crafted words so lightly, petualant has a weight>>>>>>>>>>>>petulant>>>>>>>>langue>>>>>>>>>>
Marc Weitzmann est écrivain et journaliste.
et un practionér de l/art.>
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 30.01.03
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> don´t bother counting them. silly.
Now look you here;
http://www.iiss.org/stratcomfree.php?scID=255
Dr. Kissenger lurks there.
and the future of US space programes.
The French have already pointed out the Russian difficulties for their cosmonauts up there. The non-return of Columbia has meant that supply up and down is effeced. Lives and Scientific programes are at risk.
http://www.lemonde.fr/dh/0,5987,3208--12139660,00.html
more french you know what to do skip to the
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Dernière heure
• AFP | 02.02.03 | 13h36
L'équipage de l'ISS ravitaillé que jusqu'à début mars, selon Rosaviakosmos
Les réserves en nourriture, carburant et oxygène qui vont être envoyées dimanche vers la Station spatiale internationaledoivent permettre à l'équipage à bord de tenir jusqu'à début mars, date prévue de son retour sur Terre, selon un porte-parole de l'agence aérospatiale russe.Cette estimation de Rosaviakosmos est inférieure de près de quatre mois à celle livrée samedi par le directeur du programme navettes de la Nasa, Ron Dittemore, selon lequel l'équipage de l'ISS a de quoi tenir jusqu'à la fin du mois de juin."Une décision définitive sera prise après que les experts auront calculé la quantité de nourriture, d'oxygène et de carburant dont ils disposent", a déclaré Sergueï Gorbounov, porte-parole de Rosaviakosmos, à l'agence ITAR-TASS.L'équipage est "en parfaite sécurité" et "peut être ramené à bord d'une vaisseau Soyouz à tout instant", a-t-il ajouté.Le ravitaillement de l'ISS doit avoir lieu dimanche comme prévu, malgré l'accident, la veille, de la navette spatiale Columbi!
a, selon Rosaviakosmos, avec le lancement du vaisseau de ravitaillement Progress M-47, téléguidé depuis la Terre, à 12H59 GMT.L'accident de la navette spatiale Columbia peut entraîner la suspension du programme de l'ISS pour une durée indéterminée après le retour de l'équipage actuel, avait estimé samedi un expert russe cité par l'agence Interfax.
Actuellement, trois astronautes se trouvent à bord de l'ISS: deux Américains, Ken Bowersox et Don Pettit, et leur collègue russe Nikolaï Boudarine.Selon le même expert, l'accident peut entraîner "le retour de l'équipage sur Terre et le passage de la station au régime de vol non piloté pour une durée indéfinie".
...................une durée indefinie!
Selon lui, l'équipage actuellement à bord de la station spatiale internationale va devoir dans tous les cas de figure prolonger sa mission, car l'équipage qui devait le relever devait décoller à bord d'une navette américaine, Atlantis, le 1er mars prochain.Mais la Nasa a suspendu tous ses vols de navettes spatiales jusqu'à nou!
vel ordre, dans l'attente des résultats de l'enquête sur l'accident de Columbia.
• AFP | 02.02.03 | 13h36
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todays Daily Telegraph website has "going down quicky,(snowboarding) "old school thai" (recipes) and woolf at the door (making of the hours). Telegraph says the astronauts stood no chance. Al Qaeda has targeted the head of British defence.
Corriere Italy Domingo 15h35
Putin has offered Ariel Sharon his condolence on the loss of the astronaut.
symbolism and tragedy
you know what to do skip to the $$$$
http://www.corriere.it/Primo_Piano/Cronache/2003/02_Febbraio/02/riotta.shtml
>
> La tragedia e i simboli
>
> di GIANNI RIOTTA
>
>
> Povera America. In un tranquillo sabato d'inverno, l'ultima superpotenza deve nuovamente piangere i suoi astronauti perduti, personaggi che ormai nulla hanno più di eroico, due righe appena quando il loro Shuttle decolla, una vita da mediano nello spazio, la gloria, la fama, l'orgoglio ritrovati solo davanti alla morte. Quando il primo Shuttle scoppiò, il 28 gennaio del 1986, uccidendo i sei membri dell'equipaggio e la brava maestrina McAuliffe, il presidente Ronald Reagan disse: «Andremo avanti, il futuro è dei coraggiosi, non dei codardi». C'era allora la guerra fredda, oggi c'è la guerra al terrorismo e siamo all'alba dell'attacco a Saddam Hussein.
>
> ................
> i´ve not pasted it all. bad journalistic practise, but i am not a journalist.
> lovely does it.
>
> La prossima volta che andrà sugli schermi rivolgendosi alla nazione sarà forse per dichiarare guerra all'Iraq.
> Povera America, viene da dire, povero Israele, povera Palestina, poveri iracheni, poveri i sette dello Shuttle e poveri tutti noi, indigeni del 2003.
> [email protected]
> 2 febbraio 2003
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>
> interested in biotech? loads of biotech fallout.
http://www.sherwood.it/portal/article.php?sid=4282
Jan 23. bit of italian comprehension class.
you know read, listen understand.
In Ireland the fourth estate of journalists is presenting their evidence for attempting to split the Peace Movement. But they are also showing their tacit support for Irish Neutrality.
> It can not be so well hidden. But tacit support is at times not what is needed. tim and us on the awacs.
> http://www.ireland.indymedia.org/cgi-bin/newswire.cgi?id=26436&start=0&sid=28139
> Tim writes briefly on Shannon over the last weekend. These planes had the capablity to overfly Ireland and record everything. Everything. Just for fun, just for practise, just for defence and security.
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> The cost of this war so far has been equal to twenty times the cost of providing the children of this planet with vaccines. The type of vaccines we as Irish, Europeans, Americans, Russians, Japanese, and Israelis take for granted.
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Closer to home. My beloved city, skies are blue still. Jordi Pujol is making his noises against Aznar well against Madrid. This has being going on a long time.
PARTIDO POPULAR. “Nuestras diferencias son grandes; no es un desmarque electoral”
Pujol is the president of the Catalan Generalitat (the Catalan governemnt re-instated by the Spanish Constitution to govern the autonomy of Catalonia with in Spain).
He says of the PP Aznar´s party the "popular party" that our "differences are big, it´s not just elecoral differences".
What ever can he mean?
you need cookies to get into La Vanguardia. Cookies are great for keeping the sugar levels up and stopping dizzyness. They are however discouraged on manned space flights as in zero gravity the crumbs get everywhere. Zero gravity is an interesting effect within the atmosphere. It´s all to do with exploiting the anomolous effects of the Polar regions. I´ll tell you all about it sometime. Cookies at the ready link yourself to "Spain today"
http://www.lavanguardia.es/web/20030202/136084389.html
O old europe is a strange place.
http://curia.eu.int/sv/instit/txtdocfr/autrestxts/txt11.pdf
thinking about over flights?
now that´s not really the right page it´s off limits today.
JOSÉ ANTICH - 02/02/2003
Barcelona
Le quedan nueve meses como presidente de la Generalitat, cargo en el que ha permanecido los últimos 24 años. Y pese a que su mandato entra en la recta final de un largo cuarto de siglo, Jordi Pujol (Barcelona, 1930) continúa hiperactivo. Atesora una gran experiencia que le permite, desde su indudable europeísmo, enjuiciar la crisis internacional desde una óptica no muy oída por estos pagos.
–Usted está a punto de iniciar un viaje a Estados Unidos en un momento de grave crisis internacional.
that last bit is about Jordi.
my local President.
he goes down the same road as I every night after work or play in a big car with a Catalan Flag on the front. Believe or not we´ve actually smiled at each other one occassion. Sweet eh? Mr Pujol as once a young idealist. Check his birth 1930. He was a child for the Civil War. He remembers the black corn bread. He remembers a lot. So at this stage where he has in short time nominated his succesor and watched another "dinosaur" Fraga deal with the Prestige and the northern neighbours the Basques deal with their legitamate search of national identity and expression, his thoughts on international crises are interesting.
But my friends they´re not going to change much.
Many more people outside of Catalonia are thinking as well.